M.I.C.E.L

M.I.C.E.L

PEUR TIMIDITE DEPRESSION ETC ...

QUI A PEUR DE QUOI ?

ET POURQUOI ?

Extraits de l'ouvrage "analyse de la timidité"

                                                          _______________________

IX-5– la peur et l’ennui -

Une définition est une partition en classes d’équivalence

Lorsqu’on divise le monde en deux groupes - ou un cercle en deux demi-cercles , ou encore une sphère en deux hemisphères - on réalise aussi une partition du même type

Quelle est donc pour un timide l’utilité d’une telle opération ?

Dieu seul le sait : les définitions claires terrifient le t*

Qui aurait donc tendance à vouloir brouiller les cartes

sachant qu’il ne faut jamais sous-estimer une tendance naturelle essayons d’examiner plus attentivement cette tendance :

On a déjà pu constater que la peur était l’antidote à l’ennui

refuser la peur c’est aussi refuser le plaisir lié à la peur

Le t* préfère quant à lui refuser le vide de l’ennui

Sur ce point il s’entend très bien avec la Nature , laquelle dit-on aurait peur du vide

Etant naturelle cette horreur du vide est souvent inconsciente : d’où les mises en garde contre une manipulation intempestive de la personnalité

Un vrai traitement ( qui n’en est plus un de ce fait) de la T/ consisterait donc à faire accepter son état au timide comme étant le meilleur compromis possible

On a beaucoup glausé sur cette fameuse expression dùe à Aldus Huxley (?) “meilleur des mondes possible ‘- sous réserves de vérification des sources originales en cours à la date de première impression de cet ouvrage -

Elle témoigne cependant d’une analyse assez fine de la sagesse de l’homme – ( est-ce possible ?-)

Et aussi d’une grande humilité envers la sagesse naturelle celle-çi ayant toujours une longueur d’avance sur celle-là

depuis que le premier scientifique a osé le reconnaître cette nouvelle manifestation de la science - par la reconnaissance de ses limites- tend à se généraliser de nos jours. Il ne faudrait pas aussi qu’elle s’acccompagne d’une démission complète de l’homme de ses responsabilités envers son milieu ambiant

Si la Nature n’avait pas “voulu” cette responsabilité elle n’aurait pas doté l’être humain (H-F) de tant d’aptitudes

Et en particulier de l’aptitude fondamentale (O-I)

Sans omettre de mentionner l’anthropomorphisme sous-jacent à cette reconnaissance ,d’où la précaution oratoire entourant la “volonté naturelle” Il ne s’agirait pas en effet que l’homme retournât contre la nature des armes dont elle l’aurait doté

On retrouve une fois de plus ce terrain mouvant déjà signalé dans l’opposition entre nature et degré

Qui se manifeste aussi dans l’enchainement circulaire des causes et des effets ( Nature = nombre illimité de degrés)

IX- 6 :Indications thérapeutiques : faire un minimum d'efforts ,sans jamais chercher à se culpabiliser ,le reste à la grace de Dieu ...ou de la Nature

selon ses convictions propres

Même si les efforts ne servent à rien il n'en couterait que la mise d'éprouver de temps à autre sa volonté

L'art pour la beauté de l'art ,sans attendre la sanction sociale

                                                   _____________________________

 

 



25/03/2010
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